A l'occasion de ce stage en Equipe de France 100 km dans la
Loire, lieu de la maison mère de Bvsport, j'ai bien évidemment rempli ma valise avec tous les
produits , pour ma part j'ai utilisé :
- Les
chaussettes qui ont été extrêmement utiles étant donné que je sors d'une rupture de l'aponévrose et celle-ci
est renforcée pour ce souci, sans compter le confort de
l'épaisseur qui est adapté à l'ultra en tous les cas.
- Les
Booster incomparables vu leur efficacité au niveau de la compression qui assure un excellent retour veineux, par la même je rappelle que la taille doit
vraiment être respectée ainsi que le côté gauche et droit (le
logo devant).
- A la fin de chaque séances, je me suis empressée de mettre
le cuissard récupération qui est la "rolls" des produits pour
ma part, un excellent maintien des fessiers et ischios
sortant aussi d'une tendinite de l'insertion des ischios jambiers
appeler vulgairement "enthésopathie haute des
ischios".
- Je place les chaussettes de récupération à la même écurie soit "rolls", produit tout simplement génial.
En période d'entrainement, je les porte dès le saut du lit,
jusqu'au soir.
- J'aime les manchons
cuisses, ne supportant pas le cuissard effort qui me bloque l'entrejambe et que je porte très peu.
- Concernant les TS
manches courtes et manches longues, tout simplement génial, d'une je les porte pour le sport c'est vrai, mais aussi
dans ma vie de tous les jours en sous couche lors des grands
froids travaillant avec des températures très basses l'hiver. Je les aimes pour
leur confort et la thermorégulation. Aucune odeur pour ceux qui
l'ont forte. De plus ce côté "robocop" fait fureur selon les retour.
- Je ne parle pas des manchons bras que je ne quitte jamais, car rapidement trop chaud, je peux les baisser, mais sur le
l'ultra ne comptant pas les heures et le temps qui peut changer
on peut facilement les remonter. Un excellent maintien si
la taille est adaptée, et deux coloris qui me ravissent pour un
bel assortiment avec les tenues.
- Mon bandana anti transpiration fait aussi parti de moi, et je ne sors jamais sans été comme hiver, l'été pour la sueur, l'hiver pour le
tenir les oreilles au chaud ou pourquoi pas maintenir les
écouteurs ou tout simplement pour nous les femmes pour maintenir les cheveux
et aussi par coquetterie:)))
- J'avoue porter qu'occasionnellement
les chaussettes confort étant souvent en préparation ou récupération.
Pour ce stage, tout cela a
été très utile, car aucune douleur, beaucoup de questions concernant l'équipe avec qui j'étais aussi.
Mes deux produits préférés étant le
cuissard récupération et les chaussettes de récupération.
Il manque donc, les sous vêtements bvsport (brassière, slip), que j'attends avec impatience, lolololol.
BELLE DE TRAIL
Retrouvez le dossier spécial NUTRATLETIC ici sur le blog :
http://sylviesportetfoi.over-blog.com/pages/nutratletic-3868949.html
Et directement sur le site de NUTRATLETIC ici :
Nous avons tous entendu raconter des histoires épouvantables sur la douleur et le martyre endurés pendant la première semaine de course à pied. En fait, c'est probablement la raison pour laquelle tant de gens abandonnent peu après avoir commencé, déclarent que cela les ennuie ou ne cessent de répéter qu'ils détestent courir. Ils ne dépassent jamais ce stade douloureux.
Pour entreprendre n'importe quelle nouvelle activité, il faut du courage et de la force. Pour aller du connu à l'inconnu il faut avoir la foi. On peut appliquer la loi de newton : un corps au repos a tendance a rester au repos.
Une fois que vous aurez vaincu votre inertie et dépassé ce stade douloureux, vous pourrez appliquer la loi inverse : un corps en mouvement a tendance a rester en mouvement. Si vous démarrez doucement, puis augmentez progressivement votre effort en procédant par petites étape, et si vous vous reposez correctement pendant toute l'opération, vous pourrez régulièrement améliorer votre condition physiqye sanx ourir de risque sérieux de douleur ou de blessure.
RESERVEZ-VOUS UNE DEMI-HEURE. Pour accéder à la forme, il faut faire chaque semaine trois séances d'une demi-heure de course d'endurance. Prenez rendez-vous avec vous même. Ce temps-là vous appartient, cette demi-heure est sacrée. Au début vous aurez peut-être quelques difficultés à voler ce temps au reste du monde, mais si vous le voulez vraiment vous y parviendrez. Une fois que vous aurez l'habitude de vous réserver ce temps, vous serez presque certain d'obtenir la forme et de perdre du poids. En un sens, l'effort à moins d'importance que l'établissement d'une routine. Si vous voulez courir, les résultats sont pratiquement assurés.
UNE INTOXICATION BENIGNE. En s'entraînant régulièrement, de trente à quarante minutes plusieurs fois pendant environ six mois, les coureurs (ou les marcheurs) semblent contracter une accoutumance à la sensation de détente qui apparaît en fin de course. On pense que cela est dû aux hormones endorphines bêta qui se bloquent à l'intérieur de la partie médiane du cerveau provoquant un effet légèrement tranquilisant. Le corps et l'esprit commencent à attendre cet effet consécutif à l'exercice et sont en état de manque lorsque vous ne vous entraînez pas. Les symptômes de l'état sont variables : mauvaise humeur, fatigue, irritabilité, dépression etc... Cette récompense naturelle vous soutiendra si vous arrivez à suivre votre programme pendant six mois. il est même possible que cela ne demande pas aussi longtemps mais si tel est le cas, six mois ne représentent pas un investissement trop important lorsqu'il s'agit d'améliorer sa santé et sa forme pour le restant de ses jours.
A suivre
Bon! Vous allez apprendre à me connaitre, et savoir que j'aime bien rire, ou comme dit Jack "Tu es bon public"! C'est vrai je le reconnais. Le rire et la joie font parties de ma vie, comme boire de l'eau... je précise, manger, et courir. Pourquoi? Tout simplement parce que la joie est un bon remède pour affronter les difficultés de la vie de tous les jours, elle nous aide à relativiser, et reste bibliquement parlant un fruit de l'esprit qui est un don de Dieu. Evidemment, je serais triste avec celui qui l'est, et je ne ris pas tout le temps croyez moi dans les choses sérieuses de la vie ou qui me blesse.
Pendant cette reco, et bien comme d'habitude il peut arriver des choses rigolotes, et je tiens à les notifier, surtout pour ne jamais oublier ces bons moments, qui à l'instant présent ne sont pas toujours hillarants, comme le fait ci-dessous.
Cela c'est passé, à vrai dire, je ne sais pas dans quelle traversée de col, mais il y a eu de nombreux passages ce jour dans le purin, bien évidemment, pataude comme je suis, j'ai mis le pied dedans, mais le pire est que ma chaussure est restée collée au fond et en plus elle s'enfonçait comme dans du sable mouvant, si bien que me retrouvant en chaussettes, éberluée et accroupie au sol, j'ai tenté désespérément de la retirer, cherchant du regard du secours, ... Mais en vain! Je vous assure impossible, comme une ventouse, j'ai donc mis les deux mains et de toute mes forces j'ai réussi à l'oter de ce "merdier", lol. Ma shoes était pleine de... je l'ai secoué, et j'ai été obligée de remettre le pied dedans (sequettes blanches), j'vous dis pas, directos poubelle à l'arrivée et là! Ce n'est pas du gaspillage. Et comme les choses sont bien faites, un petit ruisseau m'attendait 2 min après, pour un bon bain de pieds et de chaussures. Bonjour l'odeur malgré tout, et la tête des gens en les doublant, hum! Hum.
Le plus qui m'a interloqué et fait sourire, c'est le nombre incroyable de Chinois ou Japonnais que sais-je? Mais excusez moi les termes suivants, "des têtes plates" de partout, partout, partout... Armez de leurs célèbres appareils photos, à flasher dans tous les sens.
Je continue dans la moquerie de ma petite personne, Jack pourrait vous le confirmer, de toute il me connait parfaitement maintenant en qualité d'excellente descendeuse et de sauts aériens (nullos de chez nullos). Ce sont ces fameux passages en dévers dans les névés, ou je n'ose même pas regarder le ravin, tellement je suis tétanisée par la peur, je mets juste mes pieds dans les traces déjà faites et je m'agrippe comme un koala sur le côté opposé les doigts enfoncés dans la neige, marchant sur des oeufs, en espérant que ce moment ce passera bien et le plus vite possible.
Parlons de ces groupes de randonneurs, que l'on a croisé sur plusieurs jours pour certains, et qui ma foi, sont restés très adimiratifs me demandant des photos avec eux à mes côtés, telle une star, mais de quoi??? Alors là! That is the question?lol...???!!! Je reste interrogative. Bon! Je vous passe le côté Italien ou lorsque j'étais seule, m'ont couvert de compliments, hum! parfois même avec Jack ; Dragueurs va! Le pire étant que je suis restée coincée derrière un groupe dans la neige où il était impossible de doubler vu les passages pour moi plutôt dangereux et que je passerais de nuit, Jack m'a demandé pourquoi j'avais mis autant de temps, bah...Mais bon! les garçons n'ont pas arrêté de me taquiner car si je les écoutes, je fais l'UTMB qu'en nocturne, bah voui! à chaque fois ils m'ont dit, c'est de nuit! c'est de nuit! pfff! Ceux là alors! Mdr!
BONJOUR L'AUTONOMIE DE LA FRONTALE!
Il y a eu de nombreuses traversées de ruisseaux, mais petit à petit j' en ai pris l'habitude, je ne saute pas sur les pierres pour éviter de me mouiller, mais splash! splash! Je saute dedans. Du coup c'est plutôtla tête à Jack qui m'a fait marrer. Et ce fameux passage ou là, le pont a été cassé, le courant étant beaucoup plus fort, c'est dommage par respect, Jack n'a pris pris ma trogne en photo, mais je pense que cela voudrait le coup d'oeil, idem que dans la neige, je peux simplement me retrouver les fesses dans l'eau pour pouvoir me rassurer et me mettre en "mode sécurité", et surtout en gardant la tête haute,j'ai ma fierté quand même.
Et de la neige, de la neige, de la neige, les hommes eux courent et sont déjà loin, et moi, je marche, je marche, je marche mais en plus je glisse, je glisse, je glisse. personne Dieu merci m'a vu les "miches" au frais dans la neige. A peine relevée, que je suis repartie dans cette cryothérapie. C'est agaçant dêtre la seule à se vautrer... Il faut dire que bécasse comme je suis j'ai couru la plupart du temps avec des shoes qui ne sont pas des trails par choix trouvant l'accroche mieux et par confort aussi.
La cerise sur le gâteau étant le dernier jour, ou pas très en forme, et les garçons loin devant comme d'hab, et bien je me suis perdue, arrêtée par une barrière et des fils à ma droite, j'ai donc pris un sentier à ma gauche ... Pas le choix qui me ramenait dans la direction du départ, j'ai fait les allers-retours au moins 3 fois, me retrouvant devant cette foutue barrière. Après avoir croisé des gens du coin, l'hélicoptère pas loin pour les ravitaillements, et bien les gens m'ont simplement dit de la pousser cette foutue barrière, c'est bon! lol, je me passe de vos commentaires. Moi, je dis on est blonde ou pas, j'assume, lol, et j'en joue, re-lol. Ce jour, cà été la série des barrières, mais je peux vous dire que je les ai toutes poussées sans me poser de questions pour savoir si elles étaient électrifiées ou pas. Encore lol.
Ce même jour, seule au monde, enfin pas tout à fait, ne pouvant contacter Jack, ni Mika, car les portables ne passaient pas. Pendant des heures j'ai crapahuté ce col ne sachant pas si j'étais dans la bonne direction du tout, je me suis foutue la trouille, d'habitude les hommes grimpaient à leurs rythme et faisaient retour en arrière pour me récupérer, mais là que néni. J'ai eu de gros doutes, je criais donc très fort, "youhou il y a quelqu'un?", à chaque fois que je faisais cela je me retrouvais avec des randonneurs qui cassaient la croûte. Pas si isolée que cela la fille. Au final, oui j'étais sur le bon chemin. Tout est bien qui fini bien.
Jack a couru de nombreux kilomètres avec moi, et il m'a fait mourir de rire, mais là, c'est top secret!!! Et il ya ces marmottes que Jack a vu, alors que moi je regardais juste devant mes pieds, et surtout celle qui n'a pas été farouche du tout la marmotte de la pub du chocolat Milka qui met le chocolat dans le papier alu, que Jack a pu approcher de très prêt, j'espère qu'il va mettre la photo de ma mascottequi me suivra sur l'UTMB, ainsi qu'une chansonnette que j'ai dans la tête.
J'ai râlé et souris maintenant, en répétant tout fort, "mais j'en ai marre de grimper, monter, monter, escalader", et espérant toujours un peu de plat, et bien non! alors j'ai râlé, râlé, en répétant tout fort, "mais j'en ai marre de descendre, descendre, sauter, çà fait mal au cuisses merde", ils sont fous ces gens de faire une course pareille.
Mais? Pourtant je serais au départ cet ultra d'une réputation mondiale, certes médiatisée.
Que mes concurrentes ne s'inquiètent donc pas, car je ne serais pas en mesure de leurs faire du mal.LOL. J'parle pas du club de foot de Lyon.
Je note évidemment pas tout, gardant confidentiels les âneries des autres, les gentilles moqueries, les taquineries, les plaisanteries un peu HOT.
Sylvie Retour Gagnant à Millau
Dans les kiosques JOGGING INTERNATIONAL nov 2010 N°313
"Article belle de Trail"