vendredi 06 novembre 2009
Ding, dong! Jack est là avec Maria, c'est l'heure de partir et il se fait déjà tard, mais Clermont-Ferrand n'est qu'à 2 heures de Lyon.
Et Jack qui s'occupe de l'organisation depuis le début est overbooké par les derniers préparatifs.
Ma Maria a toujours le sourire et le mot pour rire, comme dab!
Merci aussi à Mamounette (Colette) , qui prépare toujours super bien le fameux GATOSPORT, et qui ajoute toujours une touche de
tendresse à chaque occasion.
Nous récupérons un kikou que je connais aussi et qui sera en individuel sur ce 24 heures.
Joie et bonne humeur dans la voiture.
Nous serons hébergés pour la nuit par de la famille, d'un ami kikou aussi, qui nous reçoivent comme des
"princes et princesses".
Ils se plient en quatre pour nous satisfaire et restent éberlués des performances des uns et des autres.
Je fais la connaissance aussi de KARINE, alors là! Une perle rare (vous lirez plus tard), et je l'ai vu tout de suite sur son visage, une amie
à Maria qui run aussi, qui progresse, coatchée par Maria.
PASTA PARTY en aparté, c'est génial.
Nous filons au dodo. Le sommeil n'est pas correct pour cette dernière nuit, forcément, excitation oblige.
samedi 07 novembre 2009
Allez c'est l'heure! je ne veux pas pinailler,... rituel dans la salle de bain.
Petit dèj, assez copieux, un ou deux cafés et préparation vestimentaire.
Jack, s'occupe de mes chaussures, prépare la boisson d'attente, look les temps de passage... Tout est réglé comme du papier à musique. Il me rassure, comme dab! et
me fait allonger les jambes en l'air contre le mur.
C'est le départ pour le lieu que nous allons côtoyer théoriquement 24 heures.
Il débute à 11 heures.
Le temps est moyen, mi-figue, mi-raisin, pas trop de vent.
J'ai vite fait de repérer la boucle, et j'ai pris peur lorsque j'ai vu la partie de goudron importante, ainsi que les virages à épingles.
Aie, cela va faire mal.
Nous retrouvons René, qui était présent au marathon de Vannes, il est là pour l'assistance aussi.
Je suis heureuse de saluer MOMO , je vais faire un coucou à JYMM qui se prépare
soigneusement, et qui dans la nuit va essayer de m'aider.
Nous voilà sur la ligne de départ, les dames sont devant pour la photo, et paf! coup de pistolet , c'est parti!
Jack a deux athlètes à s'occuper, et nous ne partons pas sur le même rythme ce qui ne sera pas simple pour lui.
Avec le recul, je souris car je le vois me donner la gourde d'un côté, il court la récupérer de l'autre, de l'eau, de l'énergétique, un sporténine toute les heures
tout est cadré, tip top.
Je fais donc un premier tour, et je trouve la boucle longue pour un 24 heures, il y a en plus une partie de cailloux que je n'avais pas pu voir en arrivant, une
descente abrute sur 1 m mais qui va faire mal, une montée de la même longueur mais en virage.
Je me retrouve rapidement avec Magalie REMONENQ (Mag)!
Nous sympathisons rapidement, elle est joviale et cool. Nous allons rigoler et partager de bons moments.
Malheureusement, cela va vite changer, notre complicité s'accroitre et discuter de souffrances récentes.
J'essaye comme je peux de l'aider et surtout l'écouter.
Karine! D'une efficacité exemplaire, prépare les choses, encourage, prends soin de moi (de nous) à chaque arrêt, aide Jack aussi.
Mag! Qui a une assistance aussi est émerveillée de notre organisation.
ll nous faut doubler, slalommer, beaucoup de monde je trouve.
Nous allons parcourir 100 km ensemble, les premiers 42 km en 3h43, les 6 heures (63 km), les 100 km en 9h46, je ne veux pas m'arrêter avant, c'est idiot je sais,
mais dans ma tête c'était comme cela.
Nous passons les tours à une allure très régulière, je me sens super bien.
L'alimentation passe nickel, Jack me prépare du chaud (potage, purée), c'est génial.
Evidemmnent, ce qui m'a fait le plus plaisir, ce sont ces petites attentions que je ne révèlerais pas, en tant que chéri,
en plus du coach.
Un coup il pleut, un coup un peu de soleil, du vent.
La musique qu'ils passent est beaucoup trop vieillote, beurk!
J'ai loupé beaucoup de choses, mais les bénévoles ont mené une vraie fête la nuit, et Karine a pu tenir éveillé Jack aussi par sa présence.
Bernard GAUDIN, référent FFA est là. Le gars de la DTN aussi, ils viennent voir qui sera capable de réaliser le nombre de kilomètres pour pouvoir être
sélectionné.
Je n'aime pas qu'on tire des pronostics sur moi, cela "foire" à chaque fois. C'est souvent lorsque l'on n'attend rien de moi que j'arrive à faire quelque
chose . De toute façon, je ferais de mon mieux.
Mag! s'arrête un peu. Je continue seule, je croise Maria qui a hyper mal aux genoux, je la rassure et lui dit que je file prévenir Jack.
Effectivement, il a fallu changer de shoes.
Pour ma part, tout commence à foirer, j'ai mal sur les coups de pieds (releveurs qui ne lèvent plus), la patte d'oie me tire mais c'est supportable, Jack me soigne
pour cela. Les coups de pieds, je l'ai annoncé trop tard, les pieds sont gonflés, et colorés, desserage des lacets, changement de shoes, on a tout essayé.
Tous les prétextes sont bons pour que je m'arrête, pause pipi, manger, me faire masser les jambes. Trop mal.
Oh la tête des voisins qui sont à côtés, lorsque nous n'hésitons à nous déshabiller sans gêne, Maria et moi. Mais allons! c'est obligé, il aurait pu avoir le Pape
que cela aurait été la même chose.
Maria et moi, allons tourner ensemble, les temps de passage ne sont plus respectés. Nous avons le vent glacial qui vient fouetter notre visage.
Maria va me faire mourir de rire pour 2 choses , que je ne révèlerais pas non
plus.
Elle est trop marrante Maria.
dimanche 08 novembre 2009
Nous alternons un peu marche et course enfin ce n'est plus le mot qu'il faut employer je pense, j'ai horreur de marcher.
Maria quand à elle, à une allure marche active efficace, et cela fait jusqu'à présent je pense la différence d'avec les autres nanas, en plus de son courage
j'entends.
Bon! 173 km en 18 heures de course, dans ma tête tout fou le camp, c'est foutu, irréalisable, je me traine, les releveurs ne lèvent plus, pfff!
Je demande à Jack de me masser à l'intérieur du gymnase, et là quand je vois mes coups de pieds, je me rappelle la ténosinovite que j'avais eu sur un précédent 24
heures ou j'ai été contrainte d'abandonner.
La tête me tourne, j'ai envie de vomir, je vois des mouches devant mes yeux, et je suis blanche . Et oui! stopper tout d'un coup "mortel" pour moi.
C'est la maxi faille, une fois que tu es rentré au chaud et installé, c'est F O U T U.
Je supplie Jack, de me laisser me reposer, il me couvre, je me retrouve toute enmitoufflée, bien au chaud, alors que dehors glagla, Karine vient me
voir, me chouchoute comme une enfant.
Aucun reproche, que des mots de consolation.
Jack vient me demander si je souhaite repartir.
Ah! Non alors... Je ne peux pas, si c'est pour trainer la patte, inutile.
Bah! je ne pense même plus à mon rève, à mon objectif, rien, m'en fou, mon cerveau est embué.
Ce n'est pas une marmotte qui me parle cette fois, elle est venue avec du renfort mais tout une tribu de marmottes
enmaillotées cette fois dans du papier alu.
Je l'aurais, je l'aurais un jour
Une fois que la blessure est là! que faire, et pourtant c'est idiot mais très handicapant.
Je resterai couchée jusqu'à la fin, Maria continu son petit bonhomme de chemin, Mag c'est arrêté aussi.
Juste avant la fin, Jack m'encourage de me remettre sur la boucle, je boite et finis ce 24 heures comme cela.
Je suis hyper heureuse pour Maria qui finit encore première.
Maria se refait une petite beauté pour le podium.
(Je n'ai pas de photos, je lui laisse la place pour le faire)
Et nous reprenons le chemin du retour.
Déçue? Non pas le jour même, mais le lendemain ou j'ai une idée derrière la tête.
Les échecs et bien je les accepte et les accepterais toujours, cela pour moi apprends l'humilité.
En revanche, je recherche la victoire
La prière sur ce 24 heures? J'étais trop tourné vers autrui.
Un 24 heures bien différent et pourtant qui aurait pu faire mal.
24 HEURES DE AULNAT 2009
Une telle météo devrait influer sur les performances finales des athlètes, comme l'explique Bernard Gaudin, l'un des référents 24 heures de la FFA :
« L'avantage de la pluie se limite au plan respiratoire, lorsqu'elle n'est pas trop forte et n'intervient que par intermittence. Ce la procure une sensation de Fraîcheur aux coureurs et de ce fait, ils boivent plus raisonnablement et souffrent donc moins de troubles gastriques. Par contre à cette période de l'année, même couverts, une fois que leur vêtements sont mouillés et qu'ils commencent à se refroidir, trop persistent à ne pas se changer. Or ce froid entraîne une consommation de calories plus importantes et au fil des heures, la fatigue s'accumulant, des dégâts risquent de se produire. En plus, ce circuit de 1341,96 mètres n'est pas entièrement bitumé et s'il pleut trop, les chaussures vont s'alourdir et ce segment du parcours risque de devenir boueux. Donc, une première sélection va s'opérer dans les 6 prochaines heures. Souhaitons également que la nuit ne soit pas trop fraîche »
Quant à la course, elle est partie sur des bases relativement prudentes. Soit à 11,5 km/h de moyenne pour les hommes et 10,5 pour les filles. Toutefois, il est difficile d'établir un classement précis en raison de soucis de pointage vécus par la société de chronométrage.
Pour l'instant les leaders masculins sont Stéphane Collard et Pascal Martin, vainqueur cette année de l'Intégrale de Riquet. Tous deux cumulent 56,364 km. Suivent Christian Leroux, Dominique Provost et Thierry Douriez, 53,680 km. Chez les féminines, Sylvie Boissy et Magali Reymonenq, accompagnée de Maria Pierre ont atteint 50,996 km.
Christophe Rochotte
ULTRA : LES 24 HEURES D'AULNAT
Le point à la 10ième heure
Lentement, au fil des heures les écarts se creusent. Toutefois, c'est encore loin d'être significatif, puisque la mi-course n'a pas encore été atteinte. Si Christian Leroux a été contraint à l'abandon en raison d'un problème de vessie. Il ne parvenait plus à uriner que du sang et le médecin lui a conseillé d'arrêter et de se rendre aux urgences pour un examen. Bernard Gaudin, lucide usera de cette sentence : « Même si la mort dans l'âme, il a dû arrêter, la santé prime ».
A l'inverse Philippe Propage, l'entraîneur de Philippe Propage le leader actuel semble euphorique : « Stéphanne est passé en 8h50' au 100 km. Sur l'ensemble des dix
premières heures, il a tenu une moyenne de 11,5 km, conformément à ce qui était prévu. Désormais, nous allons ajuster en fonction de ses sensations. Tous les 4 tours, dès
qu'il aborde le ravitaillement, il marche 20 secondes, pour s'alimenter. Peut-être allons-nous allonger la durée de ce passage au ralenti. En tous cas, depuis le début de
l'épreuve, il n'a pas connu un souci. Toutefois, seules 10 heures d'effort ont été accomplies. Ce qui en matière de 24 heures correspond à l'échauffement. De mon point de vue,
la course débutera réellement à la 15ième heure. Les conditions athlétiques dicteront la fin. S'il n'est pas réellement au
top, il finira mal et à l'inverse il passera les 250 km, l'objectif que nous avons fixé. Je découvre cet athlète de 37 ans. Aujourd'hui, il participe à sa 3ième course, et il n'a couru que des 24 heures. »
Passionné, Bernard Gaudin ne manque pas une minute de l'épreuve et fort de son expérience en matière d'ultra, il dissèque la progression des favoris, ce que Jean-François Pontier résume à « Un tour des popotes ».
Selon Bernard : « Collard est le plus frais du groupe. Derrière certains commencent à se sentir moins à l'aise, notamment Bruneteau et Pascal Martin qui accusent le coup. Par contre Dominique Provost revient. Aussi, ne nous affolons pas, ces athlètes se tiennent dans un mouchoir de poche et tout peut encore changer d'une heure à l'autre. Au plan féminin, Sylvie Boissy surprend. Depuis la première heure, elle maintient une moyenne de 10,5 km/h, alors que Magali Reymonenq commence à s'étioler.
Concernant Sylvie Boissy, Jean-François Pontier refuse de s'enthousiasmer : « Comment va-t-elle passer la nuit ? Pour l'instant, elle n'a jamais couru 200 km ».
Quant à Pierre Maria, elle reste régulière et créera peut-être la surprise.
Heureusement pour les concurrents, il ne pleut plus et le vent s'est calmé. Sans doute est-ce la raison pour laquelle, les coureurs les plus sages qui lorsqu'il pleuvait avait adopté une attitude d'attente peuvent envisager un futur moins chaotiques que certains.
Le top 10 :
Stéphane Collard, 111,386 km Moyenne : 11,17 km
Patrice Bruneteau, 108,702 km
Dominique Provost 107,360 km
Pascal Martin 104,676 km
Thierry Douriez 101,992 km
Magali Reymonenq 100,650 km
Sylvie Boissy 99,308 km
Eric Vernet 99,308 km
Jean-Paul Plazanet 99,308 km
Christophe Rochotte
http://www.runinlive.com/999/info/ultra-les-24-heures-daulnat-a-4-heures-du-but.html
ULTRA : LES 24 HEURES D'AULNAT
A 4 heures du but
Si la nuit resta plus clémente que prévu, elle n'en n'a pas moins produit son œuvre de destruction
Outre les abandons d'une partie des favoris, pléthore de concurrents ont privilégié le confort douillet de la salle polyvalente au circuit. Désormais, après quelques
heures de sommeil, ils s'apprêtent à repartir alors qu'en l'absence de nuages, le lever du jour s'annonce sibérien. Dominique Provost, pourtant parti sagement et
revenu en seconde position à minuit, renoncera à la 15ième heure :
« De la même manière que Pascal Martin et Jean-Pierre Guiomarch, j'ai décidé d'arrêter parce j'ai compris que je n'atteindrais pas l'objectif de 240 km,
susceptible de m'ouvrir les portes d'une sélection. Je sentais que ce n'était plus possible et ça m'a mis la pression. Je n'avais pas envie de continuer et de me
sortir les tripes dans le froid de l'Auvergne pour un score de 220 km. Je préfère me réserver pour une course plaisir. Le problème, c'est que j'ai postulé pour
les 48 heures de Surgères et du fait de ne pas être allé au bout, je risque de ne pas être invité. »
Apparemment, Stéphane Collard qui caracole en tête ne vit pas d'états d'âme et s'apprête à pulvériser son record de 243 km. S'il maintient sa moyenne horaire de
10,68 km/h, il accomplira 256 km, soit une performance de niveau international.
Thierry Douriez, le Chti de Boulogne-sur-Mer, bloqué depuis des années à 239 km se prépare enfin à passer cette barre obsessionnelle des 240 km. Au même moment,
Patrice Bruneteau semble à la peine, mais s'accroche. Peut-être n'a-t-il pas complètement récupéré des 100 km de Millau, où il avait souffert en fin de
parcours.
Chez les féminines, l'épreuve tourne à la Bérézina. Sylvie Boissy en proie à des problèmes de releveurs de plus en plus douloureux à été obligée de ralentir. Pas
assez couverte, elle s'est refroidie et proche de l'hypothermie, elle a rejoint le dortoir et croule sous une montagne de couverture. Pourra-t-elle repartir ? A
quel rythme ? Connaîtra-t-elle la joie de réaliser plus de 200 km ? Pendant cet arrêt forcé au stand Maria Pierre accentue ses chances de l'emporter et de
se rapprocher des 210 km. Quant à Chantal Pain, fort régulière, les 200 km se profilent à l'horizon.
Christophe Rochotte
Photos : Christophe Rochotte
Top 10 :
Stéphane Collard 213,378 km
Thierry Douriez 202,642 km
Patrice Bruneteau 201,300 km
Stéphane Leroux 183,854 km
Jean-Paul Plazanet 182,512 km
Maria Pierre 178,486 km
Sylvie Boissy 173,118 km
Yves Chomont 173,118 km
Vincent Allier 171,776 km
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RESULTATS DEFINITIFS 7 BOISSY SYLVIE (N° 9) 174,117 4 / F 3 / V1F 7,25 MACADAM
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COLLARD STEPHANE (N° 42) 245,51
BRUNETEAU PATRICE (N° 79) 242,74 DOURIEZ THIERRY (N° 62) 240,35 LEROUX STEPHANE (N° 7) 218,77 CHOMONT YVES (N° 3) 212,25 PLAZANET JEAN PAUL (N° 16) 209,35 CATINAUD PHILIPPE (N° 174) 208,15 PIERRE MARIA (N° 136) 207,16 BRAUGE REMI (N° 129) 207,15 LECONTE DENIS (N° 77) 203,07 SOULIER THIERRY (N° 118) 202,98 RIGAUX WILLY (N° 89) 202,22 PAIN CHANTAL (N° 22) 193,91 DE CARVALHO FRANCIS (N° 33) 193,83 ALLIER VINCENT (N° 114) 190,64 GAULON PHILIPPE (N° 61) 190,48 DIEUMEGARD PHILIPPE (N° 7Cool 187,46 CHEVILLON BERNARD (N° 155) 184,46 FAVRE-NOVEL THIERRY (N° 64) 184,3 BOIS CHANTAL (N° 12) 184,12 HELAINE PHILIPPE (N° 87) 183,58 GUISNEL REMI (N° 49) 181,24 ANDRAS CSAPO (N° 11) 181,17 BELLANGER DAVID (N° 124) 181,17 DIMEY FRANCIS (N° 82) 177,73 DESLOGES MICHEL (N° 50) 177,14 BOISSY SYLVIE (N° 9) 174,12 PEUCH SYLVIE (N° 19) 173,54 DREAN JEAN MICHEL (N° 75) 173,12 CITERNE PASCAL (N° 161) 171,78 CIPOLAT BRUNO (N° 127) 170,43 HAY THIERRY (N° 180) 170,43 MIORIN ROBERT (N° 74) 170,43 TERRANOVA DANIEL (N° 178) 170,18 POLY CLAUDE (N° 102) 169,55 CHELTOWSKI CHRISTINE (N° 121) 169,12 TREGOU CHANTAL (N° 46) 168,83 HOUET GUY (N° 55) 168 CHEVILLON MIREILLE (N° 63) 165,67 MONTAUDON HENRI (N° 154) 164,64 COUTELLE DAVID (N° 70) 163,72 SAUVETTE JACQUES (N° 31) 162,54 KREA ERIC (N° 134) 162,38 CHOMONT GUY (N° 169) 161,04 JANELA JOSE (N° 157) 161,04 ANDRE GILLES (N° 110) 159,7 ALVAREZ PATRICK (N° 137) 159,08 BOUGEROL MIREILLE (N° 131) 158,94 DE MAREZ LUDOVIC (N° 39) 157,15 VERNET ERIC (N° 43) 157,01 GAUDIN ALAIN (N° 158) 156,32 PELMONT FRANCIS (N° 140) 155,93 BOSQUE AMABLE (N° 162) 155,25 MONEDIERE PATRICK (N° 116) 154,33 PROVOST DOMINIQUE (N° 44) 154,33 DURMIER JEAN-PIERRE (N° 119) 154,14 ROSSI LAURENT (N° 86) 153,24 SAVINA JEAN YVES (N° 149) 153,19 BEAUMEL JEAN CLAUDE (N° 156) 152,99 DUVAL BERNADETTE (N° 66) 152,02 SAUTEREAU CHRISTIAN (N° 37) 151,8 MARTIN PASCAL (N° 34) 151,65 SAKESYN OLIVIER (N° 59) 151,05 GIRAUD MARCEL (N° 81) 149,55 CHIFFOLEAU ALAIN (N° 54) 148,27 ROUSSEL XAVIER (N° 25) 144,94 VIAUX THIERRY (N° 45) 144,94 TOUGNE CHANTAL (N° 8Cool 143,8 CHIROL ALAIN (N° 165) 143,09 MARCHAND CLAUDE (N° 83) 142,74 FEUTRY PHILIPPE (N° 145) 142,29 GORSE MARTA (N° 171) 142,25 DRONIOU YVES-VINCENT (N° 14) 141,27 CHEVILLOT FRANCKY (N° 147) 140,95 CODET GILBERT (N° 73) 140,91 ROYO ERIC (N° 1) 140,91 NABEIRO LUIS (N° 163) 139,79 BILLY JEAN FRANCOIS (N° 104) 138,67 DRONIOU MARC-ALAIN (N° 10) 138,58 GOUZERCH VINCENT (N° 30) 137,97 BURON-MOUSSEAU FRANCK (N° 53) 137 YTHIER CHANTAL (N° 159) 136,38 MOIROUX PHILIPPE (N° 168) 134,49 PIOLET EDWIGE (N° 151) 134,43 MENELLI CHRISTIAN (N° 65) 131,52 DUMAS MATTHIEU (N° Cool 131,52 DOULCET JEAN PIERRE (N° 115) 131,52 CORNICHON LAURENT (N° 27) 130,17 HERBIN JACQUELINE (N° 167) 129,41 CARRIERE ANDRE (N° 112) 128,88 PEIRETTI THIERRY (N° 24) 128,86 SIMONS MARIE JEANNE (N° 132) 128,83 SPIES GERARD (N° 21) 127,49 SALVAT MARIE THERESE (N° 146) 126,79 DELMAS GUILLAUME (N° 170) 126,73 REYMONENQ MAGALI (N° 6) 126,15 DUJON FREDERIQUE (N° 103) 125,76 JOYE DANIEL (N° 5) 125,53 MALANDAIN PATRICK (N° 20) 123,61 GUIOMARCH JEAN PIERRE (N° 40) 123,46 LE GUEN BENOIT (N° 57) 123,46 RATINAUD JEAN MICHEL (N° 125) 120,78 SALLIEN DANIEL (N° 150) 120,78 GONTIER ALAIN (N° 67) 117,76 NEPOMIACHTY OLIVIER (N° 35) 116,75 MALANDAIN FABIENNE (N° 1Cool 111,09 MORARD MAURICE (N° 13) 109,19 VIOSSAT STEPHANE (N° 71) 108,7 ROBERT JEAN MARIE (N° 17) 108,7 DESSENNE FREDERIC (N° 2Cool 107,57 BOYER PHILIPPE (N° 138) 106,94 COURBON GABRIEL (N° 139) 105,25 LEDOUX CHRISTOPHE (N° 107) 103,33 RAY CLAUDE (N° 106) 101,99 DELGIUDICE MICHEL (N° 117) 101,92 MOLTER ERIC (N° 4Cool 101,57 BEAUDON BERNARD (N° 143) 100,65 MARIAS JEAN (N° 153) 100,65 PALLY CARAMEAUX JOELLE (N° 128) 100,65 GERBE ALAIN (N° 166) 100,65 ARSAC JEAN MICHEL (N° 123) 100,65 SERRES SUSAN (N° 47) 100,23 RODRIGUEZ DENISE (N° 133) 99,49 ARFEUIL PATRICIA (N° 120) 97,97 DERIVAZ ERIC (N° 173) 96,62 BONNET DIDIER (N° 4 ) 91,26 RAY MONIQUE (N° 105) 88,57 BLEUZEN ANDRE (N° 84) 88,57 DEHU GERARD (N° 36) 88,15 SAUVESTRE CARINE (N° 29) 84,76 HAUMANN ERIC (N° 76) 83,2 BONNIER FRANCOISE (N° 160) 82,78 CLEMENT JEAN-CLAUDE (N° 109) 81,86 BERTHONNEAU PHILIPPE (N° 111) 81,86 BARBANSSON GILLES (N° 141) 80,52 SENEE ERIC (N° 60) 77,84 ANTOINE CHRISTOPHE (N° 85) 77,15 LAMRAMI HAKIMA (N° 80) 76,49 ELOUARD YOANN (N° 175) 73,81 LEROUX CHRISTIAN (N° 142) 73,81 MOULIN GHISLAINE (N° 130) 72,28 BRUEL JEAN PAUL (N° 152) 71,39 MARTIN SYLVAINE (N° 3Cool 69,78 CALVO JEAN CHARLES (N° 69) 69,78 LONCHAMBON FABRICE (N° 172) 65,76 TERRANOVA SYLVIE (N° 15) 65,44 VIAUD FABRICE (N° 144) 64,42 MICHEL GERARD (N° 2) 61,73 TINTILLIER PHILIPPE (N° 101) 57,71 MAILLOT EVELYNE (N° 176) 51 DEGEYTER PATRICK (N° 72) 44,29 FORICHON JEAN-PIERRE (N° 113) 44,29 GRENON PHILIPPE (N° 5Cool 2,26 |
Coucou à tous!
Je vais peut-être arriver à taper mon message, je me suis connectée et me sentant partir , je retourne me coucher . Bon! Pour ce 24 heures, mitigé pour moi, satisfaite d'avoir réalisé 174... en 18h50 de course, les 220 étaient possible si je n'avais pas eu de blem mécaniques. c'est ainsi. Effectivement, je préférais ne pas en parler, une semaine avant la course, j'ai passé une radio d'urgence démontrant une fracture de fatigue au tibia avec une contre indication de courir , avec ses appuis mauvais je me suis déclenchée une tendinite à la patte d'oie. Bref, la douleur a été présente, mais en tous les cas ce sont les releveurs de pieds qui ne fonctionnaient plus (trop de goudron), la fracture???? Je pense, mais mystère... J'ai marché, je me suis refroidie et j'ai décidé d'arrêter afin de ne pas aggraver la fracture de fatigue. (plus sage). Je suis satisfaite, d'avoir courue, alors que cela est infaisable avec une fracture de fatigue (oui vous pouvez me prendre pour une mais sur le prochain cela sera différent. J'ai fait le maximum avec les moyens du bord. Maintenant je revois le médecin pour faire le point, et une autre radio, je vais lui poser la question du releveur, revoir mes semelles correctrices, les shoes etc... Je pense à un bon arrêt de 3 mois. Heureuse pour Maria qui a gagné ce 24 heures évidemment et à Jack qui a été parfait pour toute l'intendance, logistique les soins prodigués à la moindre douleur (massage, médoc etc...), et surtout son amour dans son regard. MERCI A VOUS TOUS |
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Une petite vidéo prise sur le site de KIKOUROU (merci) |
le samedi 7 novembre au dimanche 08 novembre 2009
http://www.ultrafondus.fr/index.php/Actus/24-heures-d-Aulnat-2009-resultat-final.html
Le premier :
1 COLLARD STEPHANE (N° 42) 245,512 1 / M 1 / SEM 10,23 ATHLE 43
Le dernier :
154 LELEU DOMINIQUE (N° 32) 122 / M 37 / V2M
27 BOISSY SYLVIE (N° 9) 174,117 4 / F 3 / V1F 7,25 MACADAM