FRACTURE DE FATIGUE DU 2e Métatarsien Gauche
Tout à débuté comme cela
:
Tout à débuté comme cela
:
Christelle Daunay reste un modèle pour moi, évidemment elle est la meilleure marathonienne Française et par
ailleurs il n'y a pas grand monde pour reprendre la relève avec le trail qui fleurit dans toutes les villes.
Deux semaines avant les JO elle ressent une douleur sur l’avant du pied, il s’avère qu’elle a une fracture du
deuxième métatarsien au pied gauche . Je reste navrée pour elle et pour son gros objectif qui n’est plus sur le fil de la course mais qui tombe à l’eau comme le titre de
son blog d’ailleurs.
http://www.leblogdechristelledaunay.com/index.php
Je suis prête pour le 100 km de Cléder en Bretagne, région que j’affectionne tout particulièrement, mais mon entraîneur est en stage avec le team à Andorre et le
retour se fait la veille de la course, nous faisons un bref calcul ou cela sera trop speed pour lui et moi, de plus le départ est donné à 5h30 du matin . Cela ne me convient pas du tout, me rappelant l’organisation déplorable pour les Championnats du
monde en Italie ou je prends le départ épuisée et stressée, c’est bon ! J’ai donné.
Nous nous rabattons sur le 100 km des étangs de Sologne fin août juste avant l’UTMB pour Jack et le team. Ma prépa est finie et je souhaite relâcher avant de reprendre les entraînements car cela
repousse d’un mois et j’en assez. Les choses font que NON! , pour remettre des watts il faut faire une petite prépa marathon. Il fait très chaud à Lyon entre midi et 14 heures sur goudron au milieu des usines chimique. Une semaine "hard" en course à pied, je
fais même sauter deux séances et j’en arrange d’autres. Je dis à mon entraîneur que je suis blasée, épuisée, en contre performance, plus de plaisir voire même du dégoût
A la fin de la séance dès le lendemain, je ressens une douleur sur le pied ne pouvant marcher normalement, la nuit la douleur me réveille. Mon entraîneur me donne 3 jours de repos que je ne respecte pas me pointant vous souvenant le 14/07/2012 sur le trail court 42 ou je finis 2° ne supportant pas une femme qui se permettra de tricher sur le parcours et je vais donc appuyer afin de passer de la 6° position à la 2°. Je sais inconsciemment ce que j’ai, mais je me lance sur ce trail afin que tout pète et que je stoppe la CAP. Je vais à l’abattoir seule comme une grande qui veut ranger ses shoes dans le placard.
C’est le 14/07/2012 je suis heureuse d’avoir finis cette dernière course de ma saison me dis-je, constatant de l'état de mon peton, qui es énorme, un monstre, un œdème incroyable, je ne peux plus du tout marcher, la douleur est horrible, je ne connaissais pas cela, il me manquait plus que la fracture de fatigue au pied gauche du 2° métatarsien au même moment que ChristelleJ Daunay et exactement la même blessure, sauf que moi je ne rate pas les JO, je relativise drôlement
Les RV sont pris médecin du sport, qui me confirme fracture de fatigue, résultat 45 jours sans sport, ni vélo, l’IRM est passé 4 jours après tout est cassé sur 6 min, à la radio idem. SPORT INTERDIT VELO AUSSI.
Je
refuse le plâtre , et j’achète une chaussure de décharge partielle prescrite
par le médecin avec laquelle je vais pouvoir continuer mon travail (mais cela me décale bassin je souffre du dos), prendre la voiture pour me déplacer (j’ai 2 filles, les course à faire, le kiné
etc… Une vie simplement)
Un choix de vie, ou seule je dois me débrouiller dans la galère totale et la
souffrance physique comme avec mes précédentes blessures, mais je n’ai jamais été aussi sereine et heureuse de ne plus courir, je vais faire du gainage matin, midi, et soir, de la chaise contre
le mur, des abdos, mon corps se transforme en une planche dure. Evidemment je n’écoute aucun conseil, je fais du vélo 3 jours après en salle et je m'octrois même le loisir de suivre des
cours de bikers en salle de fitness ou les profs me prennent pour une folle me mettant rapidement sur le vélo éliptique avec une fracture, je me mets donc en danseuse, sur la pointe des pieds (je
fais tout l'opposé que l'on me dit) , je découvre un autre sport et aussi d'autres gens, marre d'être isolée comme
cela, je maintiens le cardio, je ne prends pas un gramme 49 kg et sur la balance indépendancemètre je prends en
muscle donc des cuisses de traileuse . Mon chef est admiratif me semble t-il , d'autres sont moqueurs... j’ai assuré toutes mes blessures sans m’absenter de mon travail ou je porte du poids et ou je suis debout
pourtant, je sens une force en moi qui m'aide et me soutient.
Les choses font qu’en vacances pas de vélo, donc 3 semaines après la fracture, je décide de reprendre le
footing en commençant par 1 km en alternant marche-course, j’ai très peur. Et petit à petit seule à la sensation, j’augmente et progressivement j’atteins une heure et je re post mes entraînements
en lookant les petites blessures de certains, en encourageant et me disant si ils savaient, lol.
Il faut deux mois pour une fracture de fatigue et la douleur peut perdurer des mois. Je n’ai pris que 3
semaines et je passe la radio de contrôle ou le médecin m’annonce le cal osseux est complètement consolidé
pas besoin de passer l’IRM votre pied est tout neuf. Il me dit: "De toute façon Mme Boissy vous avez une cicatrisation
exceptionnelle"... et je pense qu’ils commencent tous à avoir l’habitude.
J’ai une forte pensée pour Christelle qui est avec ses béquilles depuis la même date que moi mais qui consolide difficilement, pour ma part que 3 semaines sans run. Ci-dessous ces mots :
http://www.leblogdechristelledaunay.com/PATIENCE_a355.html
Citation: |
Les runnings sont encore au placard. 6 semaines après la fracture, je pensais pouvoir remarcher tranquillement. Mais le scanner a démontré que la consolidation n'était pas acquise et que je devais encore attendre 2à 3 semaines de plus. J'aurais aimé au moins avoir le droit de poser un peu le pied par terre mais non, rien. Marche entre 2 béquilles à cloche pied un point c'est tout. Patience, le mot clef de l'été. En attendant, j'ai repris la musculation et du vélo mais sur le talon (pas le droit d'appuyer sur le milieu du pied). Vers la vingtaine de septembre, j'espère que je pourrais enfin remettre les runnings ne serait ce que pour marcher et poser le pied par terre. Mais je préfère attendre le feu vert réel avant de me projeter vers des objectifs, peur d'être déçue.
La suite le 4 novembre pour le marathon de Rennes à moins qu'avant je me fasse une répétition sur course route ou nature à voir
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Le tour
de 5 chemin de Fred 2012
Le tour de 5 est une manifestation sportive organisée par l'association Le Chemin de Fred
avec le concours du SDIS 69 (les pompiers du Rhône). Le 6éme tour de 5 aura lieu le
samedi 1 septembre 2012 de 9h à 17 h au Parc départemental de Parilly rue du clos verger à Vénissieux(69200).
Les bénéfices de la journée seront versés à l'association et à la recherche contre la SLA. Le but du Chemin de Fred était de soutenir Frédéric Siguenza sapeur pompier professionnel qui
souffrait de la Sclérose Latérale Amiotrophyque ( la SLA ou maladie de Charcot). Fred est décédé le 4 août 2009 des suites de la maladie.
Je reçois un mail du Lieutenant Perrier pour m’informer que cette année la course aura lieu, l’année précédente ayant été annulée. Je réponds immédiatement à Pierre que je serais
présente même sur une jambe lui expliquant brièvement mes
déboires.
J’ai repris la course à pied il y a 4 semaines en jogging et surtout un peu de fartlek,
et une seule bonne séance de 400 m et un 5000 mètres réalisés dans la même semaine d’ailleurs.
Tout à débuté comme cela : Christelle Daunay reste un modèle pour moi, évidemment elle est la meilleure
marathonienne Française et par ailleurs il n'y a pas grand monde pour
reprendre la relève avec le trail qui fleurit dans toutes les villes.
Deux semaines avant les JO elle ressent une douleur sur l’avant du pied, il s’avère
qu’elle a une fracture du deuxième métatarsien au pied gauche .
Je reste navrée pour elle et pour son gros objectif qui n’est plus sur le fil de la
course
mais qui tombe à l’eau comme le titre de son blog d’ailleurs.
http://www.leblogdechristelledaunay.com/index.php Je suis prête pour le 100 km de Cléder en Bretagne, région que j’affectionne tout particulièrement, mais mon entraineur est en stage avec le team à Andorre et le
retour se fait la veille de la course, nous faisons un bref calcul ou cela sera trop speed
pour lui et moi, de plus le départ est donné à 5h30 du matin . Cela ne me convient
pas du tout, me rappelant l’organisation déplorable pour les Championnats du monde
en Italie ou je prends le départ épuisée et stressée, c’est bon ! J’ai donné.
Nous nous rabattons sur le 100 km des étangs de Sologne fin août juste avant l’UTMB
pour Jack et le team. Ma prépa est finie et je souhaite relacher avant de reprendre les entrainements car cela repousse d’un
mois et j’en assez. Les choses font que
NON! , pour remettre des watts il faut faire une petite prépa marathon. Il fait très chaud à Lyon entre midi et 14 heures sur goudron au milieu des
usines chimique.
Une semaine "hard" en course à pied, je fais même sauter deux séances et j’en arrange d’autres. Je dis à mon entraineur que je
suis blasée, épuisée, en contre performance,
plus de plaisir voire même du dégoût.
A la fin de la séance dès le lendemain, je ressens une douleur sur le pied ne pouvant marcher normalement, la nuit la douleur me réveille. Mon entraineur me donne
3 jours de repos que je ne respecte pas me pointant vous souvenant le 14/07/2012 sur le trail court 42 ou je finis 2° ne
supportant pas une femme qui se permettra
de tricher sur le parcours et je vais donc appuyer afin de passer de la 6° position à la 2°. Je sais inconsciemment ce que
j’ai, mais je me lance sur ce trail afin que tout pète et que
je stoppe la CAP. Je vais à l’abattoir seule comme une grande qui veut ranger ses shoes
dans le placard.
Oui, une double entorse avec les photos que vous connaissez bien (je recours 48 heures
après sans douleur), une rupture de l’aponévrose plantaire sur un semi marathon.
http://planetejogging.forumactif.com/t6418-semi-marathon-de-saint-priest-2012 Je prends 13 jours de repos au lieu de 5 semaines pour participer au stage en EDFrance et participer au Mondiaux.Voilà pour le récapitulatif. C’est le 14/07/2012 je suis heureuse d’avoir finis cette dernière course de ma saison
me dis-je, constatant de l'état de mon peton, qui es énorme, un monstre, un
œdème
incroyable, je ne peux plus du tout marcher, la douleur est horrible, je ne
connaissais
pas cela, il me manquait plus
que la fracture de fatigue au
pied gauche du 2°
métatarsien au même moment que Christelle Daunay et exactement la même
blessure,
sauf que moi je ne rate pas les JO, je relativise drôlement, je remercie
Sancho pour ce
qu'il a posté sur les blessures, cela m'a beaucoup aidé
.
http://planetejogging.forumactif.com/t6927-comment-bien-vivre-sa-blessure Je rentre de la Drôme pour aller directement au boulot Jack me disant que cela est
brisé en touchant le pied, je souffre le martyre en débrayant en voiture, cela m’endurcit,
yeah ! Les RV sont pris médecin du sport, qui me confirme fracture de fatigue,
résultat 45 jours sans sport, ni vélo, l’IRM est passé 4 jours après tout est cassé sur 6 min,
à la radio idem. SPORT INTERDIT VELO AUSSI.
Je refuse le platre , et j’achète une chaussure de décharge partielle prescrite par
le médecin avec laquelle je vais pouvoir continuer mon travail (mais cela me décale bassin
je souffre du dos), prendre la voiture pour me déplacer (j’ai 2 filles, les course à faire, le
kiné etc… Une vie simplement)
Un choix de vie, ou seule je dois me débrouiller dans la galère totale et la souffrance
physique comme avec mes précédentes blessures, mais je n’ai jamais été aussi sereine
et heureuse de ne plus courir, je vais faire du gainage matin, midi, et soir, de la chaise
contre le mur, des abdos, [i]mon corps se transforme en une planche dure. [/i]Evidemment
je n’écoute aucun conseil, je fais du vélo 3 jours après en salle et je m'octrois même
le loisir de suivre des cours de bikers en salle de fitness ou les profs me prennent pour
une folle me mettant rapidement sur le vélo éliptique avec une fracture, je me mets donc
en danseuse, sur la pointe des pieds (je fais tout l'opposé que l'on me dit) , je découvre
un autre sport et aussi d'autres gens, marre d'être isolée comme cela, je maintiens le
cardio, je ne prends pas un gramme 49 kg et sur la balance indépandancemètre je prends
en muscle donc des cuisses de traileuse . Mon chef est admiratif me semble t-il , d'autres sont moqueurs... j’ai assuré toutes mes blessures sans m’absenter de mon travail
ou je porte du poids et ou je suis debout pourtant, je sens une force en moi qui m'aide et
me soutient.
Les choses font qu’en vacances pas de vélo, donc 3 semaines après la fracture, je décide
de reprendre le footing en commençant par 1 km en alternant marche-course, j’ai très peur.
Et petit à petit seule à la sensation, j’augmente et progressivement j’atteins une heure
et je re post mes entraînements en lookant les petites blessures de certains,
en encourageant et me disant si ils savaient, lol.
Il faut deux mois pour une fracture de fatigue et la douleur peut perdurer des mois.
Je n’ai pris que 3 semaines et je passe la radio de contrôle ou le médecin m’annonce
le cal osseux est complètement consolidé pas besoin de passer l’IRM votre pied
est tout neuf. Il me dit: "De toute façon Mme Boissy vous avez une cicatrisation exceptionnelle"... et je pense qu’ils commencent tous à
avoir l’habitude.
J’ai une forte pensée pour Christelle qui est avec ses béquilles depuis la même date que moi mais qui consolide difficilement, pour ma part que 3 semaines sans run. Ci-dessous ces mots : http://www.leblogdechristelledaunay.com/PATIENCE_a355.html
Revenons à nos moutons, le 5000 mètres un bon test de pied, çà passe ou casse ???? Non! Je respecte mon corps et la douleur dorénavant. Dieu ne m'a pas donné un corps pour
l'abimer par du sport, ce n'est pas le but me semble t-il.
C’est génial un contre la montre, je prends que 15 min d’échauffement et surtout je délire
avec le copain qui participe aussi. Il fait mauvais temps et il ya vent et pluie qu’importe
c’est pour la bonne cause et en mémoire de mon jeune ami, qui me voit de là-haut.
Nous prenons le départ après avoir fait flacher nos dossards nous passons sous l’arche
pour déclencher le chrono, je laisse sur place mon copain qui le fait avec le niveau actuel qu’il possède ne courant
que deux fois par semaine. Il fera quand à lui un super résultat
, Je me retourne pour voir où il est. Evidemment comme en 2009 je me trompe
et loupe le virage et on va me crier dessus pour me remettre dans le droit chemin. Lol.
Je reste dans cet état d’esprit me réconciliant avec la course à pied, à savoir demeurer
dans le plaisir même en faisant le maximum sur cette course. Je suis très satisfaite,
j'ai fait un ancrage avec l’histoire du Tai Chi Chuan:
La souplesse du serpent et la vitesse de l’oiseau, je garde cela en mémoire ainsi
que mon image qui me garde dans la paix en courant ce qui me permet un relâchement
de la machoire, des épaules, du déserrage des mains.
Sur le dernier kil, je vais perdre beaucoup de secondes dans la côte où je passe
de 4.10 à 4.24, ce n’est pas grave, je gère et je suis au maximum sans préparation
pour ce style de course et pour quelqu’un qui fait du 100 bornes, ce n'est pas si mal. Etre satisfait de soir c'est
IMPORTANT.
Je franchis la ligne à bout de souffle en 20,40s. En 2009, j’ai fait 22,30s et je finis 1° dans ma catégorie. Une petite photo délire à l'arrivée: Une plus sérieuse: Là je suis fière lorsqu’on me contacte pour m’annoncer que je finis 2° au scratch et 1° V1F.
La première femme étant une jeune femme Allemande en 17,35s, une bombe, quoi !!!! Spécialiste mondiale du 3000
stepple:rambo:
La remise des récompenses se fait dans la joie, et le rapport est donné pour
le nombre de participants et la récolte des bénéfices chiffrés. Je rencontre
un organisateur de course qui me parle d’un 5650 m sur chemin ce dimanche, là suite
dans quelques heures… . De belles récompenses et des félicitations pour ma
présence pour une reprise de sortie de fracture . à eux et pour leur
formidable accueil.
J’ai fait le choix de ne plus mettre ma vie en danger pour quelques trophées, je veux aimer
la course à pied et reprendre du plaisir tout en performant, je pense que cela reste possible
et c’est ce que je vais tester dorénavant sans forcer si je suis malade, fatiguée,
ou rencontrant des problèmes qui peuvent tout perturber par ailleurs. Je ne suis pas professionnelle, donc pas
rémunérée, le jeu n'en vaut pas la chandelle d’être handicapée
à vie ou de perdre mon emploi ou autre pour un SPORT.
Je remercie Mon Dieu et Mon Seigneur qui conduisent à chaque fois toutes choses pour des guérisons ultra rapides, sachant que tout cela est conduit par mon ange. Evidemment
je m’élève en conscience par d’autres méthodes comme les arts martiaux ou je prends tout ce qui est bon pour moi. Je
remercie mon entraîneur pour avoir réussi
à m’aider à atteindre ma sélection en EDF et avoir regagné Millau. cette année, je ne fais plus la folle à mélanger route et trail c'est absurde j'ai fait n'importe
quoi.
Je n'ai rien dit à personne pour ne pas avoir à attendre: "Encore blessée ma pauvre,
tu cumules, perso je vais bien et j'adore les expériences que je
fais.
Je rève dorénavant d’un chrono sur marathon, sur 100 km ou de pouvoir monter sur la
boite en trail, mais avec une autre vision et surtout tout à la sensation, cette chanson
est pour Jimjim et ses pulsations
|
A l'occasion de ce stage en Equipe de France 100 km dans la
Loire, lieu de la maison mère de Bvsport, j'ai bien évidemment rempli ma valise avec tous les
produits , pour ma part j'ai utilisé :
- Les
chaussettes qui ont été extrêmement utiles étant donné que je sors d'une rupture de l'aponévrose et celle-ci
est renforcée pour ce souci, sans compter le confort de
l'épaisseur qui est adapté à l'ultra en tous les cas.
- Les
Booster incomparables vu leur efficacité au niveau de la compression qui assure un excellent retour veineux, par la même je rappelle que la taille doit
vraiment être respectée ainsi que le côté gauche et droit (le
logo devant).
- A la fin de chaque séances, je me suis empressée de mettre
le cuissard récupération qui est la "rolls" des produits pour
ma part, un excellent maintien des fessiers et ischios
sortant aussi d'une tendinite de l'insertion des ischios jambiers
appeler vulgairement "enthésopathie haute des
ischios".
- Je place les chaussettes de récupération à la même écurie soit "rolls", produit tout simplement génial.
En période d'entrainement, je les porte dès le saut du lit,
jusqu'au soir.
- J'aime les manchons
cuisses, ne supportant pas le cuissard effort qui me bloque l'entrejambe et que je porte très peu.
- Concernant les TS
manches courtes et manches longues, tout simplement génial, d'une je les porte pour le sport c'est vrai, mais aussi
dans ma vie de tous les jours en sous couche lors des grands
froids travaillant avec des températures très basses l'hiver. Je les aimes pour
leur confort et la thermorégulation. Aucune odeur pour ceux qui
l'ont forte. De plus ce côté "robocop" fait fureur selon les retour.
- Je ne parle pas des manchons bras que je ne quitte jamais, car rapidement trop chaud, je peux les baisser, mais sur le
l'ultra ne comptant pas les heures et le temps qui peut changer
on peut facilement les remonter. Un excellent maintien si
la taille est adaptée, et deux coloris qui me ravissent pour un
bel assortiment avec les tenues.
- Mon bandana anti transpiration fait aussi parti de moi, et je ne sors jamais sans été comme hiver, l'été pour la sueur, l'hiver pour le
tenir les oreilles au chaud ou pourquoi pas maintenir les
écouteurs ou tout simplement pour nous les femmes pour maintenir les cheveux
et aussi par coquetterie:)))
- J'avoue porter qu'occasionnellement
les chaussettes confort étant souvent en préparation ou récupération.
Pour ce stage, tout cela a
été très utile, car aucune douleur, beaucoup de questions concernant l'équipe avec qui j'étais aussi.
Mes deux produits préférés étant le
cuissard récupération et les chaussettes de récupération.
Il manque donc, les sous vêtements bvsport (brassière, slip), que j'attends avec impatience, lolololol.
Les chiffres du Garmin :
1 4:49.1 1.00 4:49
2 5:18.5 1.00 5:19
3 4:47.7 1.00 4:48
4 4:36.3 1.00 4:36
5 4:48.7 1.00 4:49
6 4:46.5 1.00 4:46
7 4:49.7 1.00 4:50
8 5:26.3 1.00 5:26
9 4:39.5 1.00 4:39
10 4:51.8 1.00 4:52
11 4:57.2 1.00 4:57
12 4:56.8 1.00 4:57
13 4:41.7 1.00 4:42
14 4:45.6 1.00 4:46
15 4:42.1 1.00 4:42
16 5:02.7 1.00 5:03
17 5:00.2 1.00 5:00
18 4:31.0 1.00 4:31
19 4:40.8 1.00 4:41
20 4:46.0 1.00 4:46
21 4:48.8 1.00 4:49
22 4:38.5 1.00 4:38
23 4:48.4 1.00 4:48
24 4:40.9 1.00 4:41
25 4:54.2 1.00 4:54
26 5:07.7 1.00 5:08
27 4:47.3 1.00 4:47
28 4:55.4 1.00 4:55
29 :36.2 0.13 4:47
SEYSSINS TOUR 2012
TRAIL HUSKY le jeudi 18 mai 2012
Voilà,
samedi 12 mai j’étais sur le trail de 67 km et 4700 D+, contrainte d’abandonner par une erreur technique de ma part (je peux m’en prendre qu’à moi, là !) je décide de rebondir rapidement 5 jours
après, malgré les cuisses encore bien dures pour la routarde que je suis et vu le dénivelé que je me suis cognée, étant très satisfaite d’acquérir de la puissance dans les jambes.
En revanche avec des courses comme celles-là ou les vitesses sont basses, très basses, trop basses, comme tout ultra trail, je me pointe sur un petit trail annoncé 11 km et réalisé en 12,490
m.
Il y a deux parcours, je choisis de nouveau le petit, pour travailler le pied et puis, le corps doit pouvoir régénérer sans trop tirer sur la machine, sinon tôt ou tard c’est le clash
assuré.
Direction Grenoble donc, avec un temps magnifique et des températures très douces. L’organisation est très sympathique l’organisateur me rassurant quand aux descentes qu’il y a sur le petit
parcours, c’est toujours ma première question. Et les descentes ? Elles sont techniques ? Je suis NULLE, je travaille sur bitume en run habitant Lyon. Je l’ai senti sourire par la voix ! Et me
suis sentie nulle
J
J’arrive sur place, les bénévoles commencent à s’activer, je pars m’inscrire et retirer mon dossard, je vois surtout des hommes pour le moment. Envie de me mettre dans ma bulle, donc je me
prépare et je pars m’échauffer tranquillement. Je suis interpellée par un policier qui mise sur moi d’entrer de jeu, « je lui dis que ce ne sont pas les muscles ou la tenue qui font d’elle une
coureuse » .
Je suis toutefois flattée disons les choses.
Allez quelques lignes droites quand même, histoire de faire monter le cardio, et là je me dis tu te rends compte tu as un jour de congé pour dormir et tu te lèves aussi tôt que lorsque tu vas au
boulot, faut aimer quand même ! Surtout rebondir et me prouver sans doute quelque chose.
Je me place au milieu du peloton, je me fonds dans la masse, un départ en descente, puis çà grimpe sur goudron, descente sur pelouse, de nouveau un peu de bitume et c’est parti pour des chemins
caillouteux mais praticable, je suis dans les mêmes allures que deux hommes, je souffle beaucoup, oui, mais je suis à 3.52 au kilo et je ne vais pas pouvoir tenir comme cela des
années.
On attaque ensuite une grosse ascension je suis obligée d’alterner course marche sur quelques secondes mais je ne me laisse pas distancer
pour autant par mon petit groupe. Il y aura une descente technique où je me lâche un peu plus que d’habitude je sais que je suis
première, ensuite un petit peu de monotrace, puis des sentiers, j’ai fait 11 km et j’espère arrivée mais on est dans les bois, en fait ce trail fait 12 km 390, lol, je souffre un peu, même
beaucoup sur la fin.
Beaucoup d’encouragements , je vois l’arche, je passe en finissant 15e au sratch selon l’animateur, effectivement c’est cela.
Je suis très satisfaite de ce travail 5 jours après les 67 km des Aventuriers du Bout de Drome, les orteils ont un peu saigné, mais bon tout allait très bien au niveau de la pointure de la
chaussure trail avec les semelles épaisses, j’ai trouvé le bon réglage cette fois.
Remise des prix avec une belle organisation de part la gentillesse de tous les bénévoles. Nous faisons cadeau de nos coupes aux enfants remportant la course, placés devant le podium!
Plus de 140 coureurs sur le petit parcours
Clt. Doss. Nom, Prénom Année Sexe Cat. Club Temps
11 Km
1. 1 PELLE Ludovic 1973 M SEM ACO Firminy 46:17
2. 102 SORIANO Olivier 1974 M SEM 50:26
3. 79 BONY Grégory 1979 M SEM 52:58
4. 98 TORNABENE Calogero 1961 M V2M ASPTT Grenoble 55:11
5. 138 BRUN Benjamin 1982 M SEM A.L. Echiroilles Triathlon 56:16
6. 3 CASSEN Sebastien 1973 M SEM 56:28
7. 96 DEYRES Thierry 1975 M SEM 56:37
8. 57 BRUNET MANQUAT Boris 1975 M SEM Sporting Club du Bouck 56:39
9. 32 BLAIS Richard 1964 M V1M 57:21
10. 133 LAKHALE Rachid 1979 M SEM 58:59
11. 141 CHARRET Maxime 1993 M JUM 59:39
12. 100 HOUSSIN Dimitri 1974 M SEM ASPTT Grenoble 59:58
13. 97 TORNABENE Jonathan 1985 M SEM ASPTT Grenoble 1:00:18
14. 84 REQUIN Frédéric 1979 M SEM CMI Tullins 1:00:20
15. 103 CARTOUX BOISSY Sylvie 1969 F V1F Team NB
1:00:29
16. 101 JAILLET Yannick 1984 M SEM 1:00:40
17. 69 BENHAFED Rémi 1993 M JUM 1:01:52
18. 15 MURAT Virginie 1976 F SEF Club Athlétique du Roannais 1:01:53
19. 46 MONTANARI Francis 1958 M V2M 1:02:01
20. 21 GAY Vincent 1960 M V2M Association Courir à Seyssins 1:02:09
21. 134 ROUTIN Guy 1978 M SEM 1:02:35
22. 135 ZAOUCHE Tarik 1979 M SEM 1:02:36
23. 108 CLAVERI Jerome 1970 M V1M 1:02:49
24. 118 ROUSSEAU Hervé 1975 M SEM ALE Echirolles 1:02:54
25. 31 MASSON Franc 1968 M V1M 1:02:55
26. 114 ROBERT Jean-Christophe 1977 M SEM ALE Echirolles 1:03:03
27. 59 ROGNARD Philippe 1971 M V1M 1:03:12
28. 111 ANDRE Christophe 1962 M V2M 1:03:15
Distance: 12.39 km
Temps: 1:00:33
Allure moy.: 4:53 min/km
Vitesse moy.: 12.3 km/h
Gain d'altitude: 319 m
Calories: 641 C
Détails
Chronométrage
Temps: 1:00:33
Tps déplac.: 1:00:20
Elapsed Time: 1:00:33
Vitesse moy.: 12.3 km/h
Avg Moving Speed: 12.3 km/h
Vitesse max.: 18.9 km/h
Allure moy.: 4:53 min/km
Avg Moving Pace: 4:52 min/km
Meilleure allure: 3:10 min/km
Gain d'altitude: 319 m
Perte d'altitude: 315 m
Altitude min.: 223 m
Altitude max.: 480 m
Récapitulatif 1:00:32.7 12.39 4:53
1 4:12.3 1.00 4:12
2 3:51.7 1.00 3:52
3 4:14.3 1.00 4:14
4 4:21.4 1.00 4:21
5 5:11.4 1.00 5:11
6 6:26.8 1.00 6:27
7 7:05.0 1.00 7:05
8 5:34.5 1.00 5:35
9 4:11.5 1.00 4:12
10 4:09.2 1.00 4:09
11 4:13.0 1.00 4:13
12 5:15.6 1.00 5:16
13 1:46.1 0.39 4:34
Un beau jeudi de l’ascension sous un grand soleiL.
Sylvie Retour Gagnant à Millau
Dans les kiosques JOGGING INTERNATIONAL nov 2010 N°313
"Article belle de Trail"